A l’origine, il y a le vide. Le silence.
La promesse du blanc… lieu de toutes les projections.
Puis, la ligne.
Figure ou cadre, limite ou passage : une « ligne de partage » qui relie et sépare.
Enfin, le regard : le désir.
Le spectateur, avec sa relation physique et sensible, mentale, sociale, symbolique, imaginaire et imaginée à un environnement, à un monde. Le spectateur dans le cadre… Dé-situation.
Et la dimension qui finalement s’impose, non pas celle d’un dessin apposé
ni celle d’une sculpture enclavée mais celle du temps.
Le temps de l’ « avoir lieu » et de l’ « être au lieu ».